Les
sanglots longs
Des
violons
De l’automne
Blessent mon
coeur
D’une langueur
Monotone.
Tout
suffocant
Et blême,
quand
Sonne
l’heure,
Je me
souviens
Des jours
anciens
Et je
pleure;
Et
je m’en
vais
Au vent
mauvais
Qui m’emporte
Deçà, delà
Pareil
à la
Feuille morte.
* Paul Verlaine: Oeuvres, Poètiques Completes,
Robert Laffout
S.A. Paris 1992.
“Poèmes Saturniens” V., 21. o